Après dur journée de travail, retrouvail (pv Logan)

Alice rentra chez elle, encore une dur enquete, ou elle avait fini à l'hopital pour faire une radio, bravo Alice ! Elle c'était tordu la cheville et sa avait fini en entorse de la cheville droite ! Encore bravo Alice !

Elle ferma la porte derière elle et jeta ses béquilles aux sol. Elle enleva sa bande et mit de la crème en se massant bien la cheville. Elle mit l'atelle que le médecin lui avait donné et alla dans la cuisine, elle se prépara un repas : soupe et yaourt. Elle ne mangeait plus beaucoup depuis que Logan était partit, il lui manquait énnormement, et 3 longs mois était passé, il ne lui téléphonait jamais, il ne lui envoyait jamais de lettre... Jamais.

Elle mangea rapidement et rangea ses affaire. Elle s'assit sur le canapé et pensa à Logan, il l'avait embrassée avant de partir, mais est-ce que c'était réellement de l'amour ou simplement, il l'avait embrassée par pitier. Elle essuya les larmes qui recommençait à couler et alla jusqu'a sa chambre avec ses béquilles.

Elle se changea et se coucha dans son lit, elle regarda le plafond et finit par s'endormir, bercée par le vent qui soufflait doucement sur les vitres de sa chambre.

Le lendemain matin, la sonnette la reveilla. Elle attrapa ses béquilles, mit un penoir au dessus de son pijama et cria un "ENTRER".

Logan abaissa la poignée et entra. Il avait un bouquet de fleurs à la main, des oeillets, et espérait réussir à se faire pardonner avec ce modeste cadeau.

Il observa rapidement l'appartement d'Alice, et quand il l'entendit arriver, il tendit son bouquet en avant, baissant piteusement la tête.

Je sais, ça fait déjà trois mois que je suis parti, et depuis, je n'ai donné aucune de mes nouvelles. Je sais, je t'ai embrassé avant de partir, sans donner d'explications et je t'ai quitté. Tu as le droit de m'en vouloir, de me détester pour ça, de refuser ces fleurs, de me giffler, de m'injurier, mais ça n'empêchera pas une chose.

Il marqua une pause, créant un léger suspens, puis il reprit.

Ca n'empêchera pas mon coeur de s'affoler dès que tu es présente, ça ne m'empêchera de sourire naivement en te voyant, ça ne m'empêchera de te trouver magnifique peu importe les circonstances, de vouloir être près de toi, te consoler quand tu vas mal, sécher tes larmes quand elles coulent, et si tu savais comme je m'en veux d'en avoir provoquer... Mais en réalité, tu m'as changé, je suis différent depuis que je te connais. Les autres filles sont horribles, comparées à toi, Washington est devenu insupportable comparé à Paris, traduire est devenu ennuyeux si ce n'est pas pour t'impressioner. La réalité, Alice, c'est que je t'aime.

Alice vit Logan entrer, elle attrapa le bouquet d'oeuillets et le regarda les yeux pleins de larmes. Elle s'avença , lança ses béquilles par terre et sauta dans les bras de Logan, en pleurant.

Je t'aime Logan, je t'aime depuis notre rencontre...

Logan ne se fit pas prier pour prendre Alice dans ses bras, lui soulever légèrement la tête, baisser la sienne, du bout des pouces, sécher ses larmes et lentement, sceller leurs lèvres dans un tendre, mais passionné, baiser.

Un sourire naissait sur ses lèvres rosées, le coeur emplit d'un bonheur immense et soudain, heureux que cet amour soit réciproque.

J'attendait que tu revienne ...

Elle posa sa tête sur l'épaule de Logan et sourit.

J'ai deux semaines d'arret de travail, on peu les passer ensemble ??

Et un peu qu'on va les passer ensembles !

Il ne lui avoua pas qu'il avait abandonner sa carrière pour elle, pour l'instant, il désirait juste en profiter.

D'ailleurs, comment as-tu fais pour te tordre la cheville ?

Sur la dernière enquete, le suspect à voulu fuire et j'ai courru après lui et je me suis retrounée le pied !

Elle reposa sa tête sur l'épaule de Logan.

Je suis heureuse que tu soit la.

Et moi je suis heureux d'être avec toi.

Il sourit, et réalisant qu'Alice avait peut-être mal à la cheville à force d'être debout, il lui demanda :

Tu veux peut-être t'assoir ?

Sans même attendre de répondre, il l'aida à se rendre vers le canapé.

Alice s'assit sur le canapé, dans le bras de Logan, elle ne voulait pas le lacher, mais il devrait repartir bientôt...

Mais... Et ton travail ? Comment on va faire ?

La question qu'il redoutait tant... Il passa un bras autour des épaules d'Alice.

Eh bien, pour être franc... Je n'en ai plus, j'ai demandé ma démission. Une mutation n'aurait sans doute servit à rien, et seule une démission me permettait de pouvoir revenir. Et rester.. J'arriverai bien à trouver un boulot, par ici, si possible encore en rapport avec les langues, comme traducteur par écrit, ou alors interprête mais un des rares qui restent dans leur pays. Au pire, je partirai de temps à autre à l'autre bout de la France, mais je reviendrai assez vite...

Il s'arrêta un léger moment, un sourire mi-triste mi-amusé sur les lèvres.

Même si j'avouerai que le métier d'avocat m'a toujours passionné, mais bon, je ne me sens pas près à refaire des études.

Ils doivent bien avoir quelque chose pour toi par ici !

Elle se rapprocha de lui et l'embrassa tendrement.

Je sais que je me repette mais je t'aime !

Eh bien, au risque de t'étonner... Je t'aime aussi !

Il sourit et lui vola tendrement un baiser.

Alice soupira et regarda Logan. Elle ferma ses yeux un instant et sourit.

Alors, c'est officiel, nous sommes ensemble ?! dit elle en l'embrassant avec tout l'amour possible.

Oui, c'est officiel.

Il lui rendit son sourire, caressant lentement ses longs cheveux.

Eh, tu peut venir ici, avec moi, le temp de te trouver un logement ??

Elle le regarda, l'air de le suplier.

Tu me dois bien sa !

Je ne voudrais pas m'imposer...

Même s'il en mourrait d'envie !

Allerrrr, s'il te plaittt !!!??

Elle supliait Logan du regard, posa sa tête sur son épaule droite et ferma les yeux

Il la regarda faire les yeux doux, et son coeur fondit. Comment pouvait-on résister à un tel regard ?!

C'est pas juste ! Tu triches ! Je suis obligé de craquer si tu me fais ce regard. Oui, je reste jusqu'à ce que je trouve un logement.

Il sourit, déposa un baiser sur le front de la jeune femme.

Je ne triche pas.

Elle le sourit et entandit la porte sonner, qui était-ce pour gacher ce magnifique moment ?

Si tu triches.

Il sourit, lui vola rapidement un baiser, et la regarda. Avec les béquilles, ça ne devait pas être aisé pour la jeune femme de se déplacer.

Tu veux j'ailles ouvrir ?

Il était prêt à se lever pour aller accueillir la personne qui brisait un si délicieux moment.

Elle rigola et le regarda avec tendresse.

Je veut bien s'il te plait !

Elle l'embrassa et le regarda aller jusqu'a la porte

Le jeune homme, un sourire sur les lèvres, ouvrit la porte et ne fut qu'à moitié surpris de découvrir Marquant. Ce dernier, en revanche, semblant plus qu'étonné de voir Logan chez sa collègue et arqua un sourcil.

Fred : Bonjour, Logan... Je vous pensais à Washington.
Je l'étais, je suis revenu.
Fred : Aurons-nous encore le déplaisir de travailler avec Richards ?

Il avait ajouté à sa réplique une grimace, apparemment, l'agent du FBI s'était montré trop froide à son goût. Et Logan ne put s'empêcher de rire légèrement.

C'est plus compliqué que cela, mais je pense que vous pouvez entrer.

Il se poussa légèrement, pour laisser Marquant passer et tous deux allèrent retrouver Alice.

Logan, c'était qui ??

Avent de voir Marquant, elle embrassa tendrement et regarda Marquant qu'elle n'avait pas vu et rougit, comme une pivoine.

Logan sourit, bien qu'affreusement gêné. Il se tourna vers Marquant qui lui, souriait, un peu gêné lui aussi.

Fred : Je suis désolé si je vous dérange, je voulais juste passer prendre des nouvelles de Madame le Juge.

Non non, c'est bon, désoler !

Elle sourit et regarda Logan , tendrement, comme pour se faire pardonner.